Galerie d’images présentée avec l’aimable concours de Mme Besseyre et de Mme Peresan-Roudil, conservatrices de la bibliothèque de l’Institut de France, et de M. Yoann Brault.
Ces documents ont été légués à la bibliothèque de l’Institut avec le fonds Gaston Maspero. Celui-ci fut le fondateur de l’Institut d’archéologie du Caire, membre de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, très lié avec Auguste Mariette.
Auguste Mariette a été élu à l’Académie des inscriptions et belles-lettres le 10 mai 1878, trois années avant sa mort.
GALERIE
Coupe sphinx, Ghizeh
Ces dessins et croquis réalisés sur site par Auguste Mariette témoignent du travail du savant sous ses différentes aspects : on y reconnaît la silhouette très caractéristique des pyramides de Gizeh, une fascinante transcription de hiéroglyphes, une représentation en coupe du Sphinx de Gizeh, et un dessin de sarcophage pour lequel Auguste Mariette porte une attention toute particulière à l’élégance du masque.
©Bibliothèque de l'Institut de France
Les pyramides de Gizeh
Ces dessins et croquis réalisés sur site par Auguste Mariette témoignent du travail du savant sous ses différentes aspects : on y reconnaît la silhouette très caractéristique des pyramides de Gizeh, une fascinante transcription de hiéroglyphes, une représentation en coupe du Sphinx de Gizeh, et un dessin de sarcophage pour lequel Auguste Mariette porte une attention toute particulière à l’élégance du masque.
©Bibliothèque de l'Institut de France
Sarcophage
Ces dessins et croquis réalisés sur site par Auguste Mariette témoignent du travail du savant sous ses différentes aspects : on y reconnaît la silhouette très caractéristique des pyramides de Gizeh, une fascinante transcription de hiéroglyphes, une représentation en coupe du Sphinx de Gizeh, et un dessin de sarcophage pour lequel Auguste Mariette porte une attention toute particulière à l’élégance du masque.
©Bibliothèque de l'Institut de France
Transcription de hieroglyphes
Ces dessins et croquis réalisés sur site par Auguste Mariette témoignent du travail du savant sous ses différentes aspects : on y reconnaît la silhouette très caractéristique des pyramides de Gizeh, une fascinante transcription de hiéroglyphes, une représentation en coupe du Sphinx de Gizeh, et un dessin de sarcophage pour lequel Auguste Mariette porte une attention toute particulière à l’élégance du masque.
©Bibliothèque de l'Institut de France
Photographie de Greene
La photographie, qui en est à ses débuts, constitue un outil de travail supplémentaire très précieux, car elle offre une représentation exacte de la réalité et favorise une plus grande diffusion des connaissances. Celle-ci est due à John Beasley Greene, qui fit don de plusieurs clichés à l’Académie des Inscriptions et belles-lettres. Elle montre le sphinx de Gizeh en cours de désensablement. Le drapeau français dressé au sommet de la tête paraît bien incongru aujourd’hui : il témoigne des rivalités entre les différentes écoles d’archéologie et de l’importante présence française sur les sites de fouille égyptiens.
©Bibliothèque de l'Institut de France
Dessin aquarelle
Ce dessin aquarellé a sans doute une dimension plus personnelle : en se représentant lui-même assis sur une pierre en saillie de la façade du sphinx, sous la forme d’une minuscule silhouette noire qui ressemble à une signature, Auguste Mariette songeait-il déjà à sa postérité ?
©Bibliothèque de l'Institut de France