Mort du peintre Jean-François Millet
20 janvier 1875
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Le nom de Jean-François Millet (1814-1875) fait surgir dans nos imaginaires les silhouettes à contre-jour des paysans de L’Angélus, ou le douloureux ballet des Glaneuses courbées vers la terre. Né de parents paysans, le peintre s’inspira largement de la vie rurale. Mais ce réalisme agricole, abondamment exploité dans les manuels scolaires, a occulté certains aspects de son œuvre. En 2014, pour le bicentenaire de la naissance de l’artiste, l’auteure de la présente notice appelait de ses vœux une grande rétrospective : elle eut lieu trois ans plus tard aux Musée des beaux-arts de Lille. En 2025, les 150 ans de la mort de Jean-François Millet pourraient être l’occasion de nouvelles mises en lumière.
GALERIE
Jean-François Millet, Louise-Antoinette Feuardent,1841. Huile sur toile. Dim. (H x L cm) : 73.3 x 60.6.
Jean-François Millet, La Baigneuse, 1846-1848. Huile sur bois. Dim. (H x L cm) :18.5 x 24.1.
Jean-François Millet, Leçon de couture, 1874. Huile sur toile. Dim. (H x L cm) : 81.6 x 65.4.
Jean-François Millet, Meules de foins, Automne, 1874. Huile sur toile. Dim. (H x L cm) : 85.1 x 110.2.
Jean-François Millet, L’Homme à la houe, 1860-1862. Huile sur toile. Dim. (H x L cm) : 81.9 x 100.3.
Jean-François Millet, Les tueurs de cochon, 1867-1870. Huile sur toile. Dim. (H x L cm) : 73 x 92.7.
Jean-François Millet, Le Printemps, 1868-1873. Huile sur toile. Dim. (H x L cm) : 86 x 110.
Jean-François Millet, La Charité, 1859. Huile sur bois. Dim. (H X L cm) : 77 X 100. © Musée Thomas Henry, Cherbourg-en-Cotentin /Daniel Sohier
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